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  Astuces de My e-farm !!!







Voici quelques infos du n3 !!

 
 

Fiche 1 / parti 1 
Les fermiers confrontés à la production industrielle. 
 
 
La mutation de nos campagnes.  
 
Le marché agricole a énormément évolué ces derniers mois : davantage de fermiers, de plus gros producteurs, des marchés engorgés par les marchandises…en un mot c’est la crise ! 
Chaque exploitant doit maintenant repenser son exploitation afin de passer ce cap difficile, et pour cela, une solution : la production de masse. 
 
 
Un nouvel objectif. 
 
L’objectif du niveau 3 sera donc d’agrandir et de moderniser sa ferme pour atteindre des taux de production suffisants dans chaque catégorie (légumes, volailles, bétail).  
Afin de s’assurer que l’exploitation a atteint un nouveau régime de production adapté au nouveau marché, des quotas devront être respectés sur une durée approximative de 6 mois. 
 
 
Les implications d’une production industrielle. 
 
La nécessité d’augmenter la production des denrées et des animaux oblige le fermier de demain à délaisser quelque peu ses animaux : il ne lui sera plus possible de chouchouter chaque bête individuellement, il devra gérer les différentes parties de sa ferme de façon globale.  
 
Concrètement : 
- les animaux seront regroupés dans des dépendances communes et non plus dans des poulaillers ou clapiers de petit volume, 
- la gestion des basses-cours et des clapiers intégrera une part de hasard concernant les différentes actions quotidiennes réalisées (comment s’assurer que chaque poule a bien bu et mangé suffisamment lorsque c’est 300 volailles que l’on considère ?). 
- des incidents et des pannes surviendront, qui reflèteront le manque d’attention, ainsi que le temps que le fermier ne pourra plus consacrer à l’intégralité de sa ferme. 
 
 
 
Heureusement, en réponse à ces nouvelles contraintes, my e-farm met à la disposition de chacun un allié de poids : la technologie. 
 
 
Toutes ses données proviennent de cette fiche du niveau 3 :  
Généralités (1/2) 
 
 
 
 
Fiche 1 / parti 2 
La technologie, alliée du fermier de demain.
 
 
La technologie au service de la mutation. 
 
Le fermier de demain utilisera désormais tout un nouveau panel d’outils : moissonneuses en plus grand nombre, machines à confectionner du fromages, camions et services express de livraison de denrées, unités de stockage à forte contenance (silos, cuves, citernes), arrosages mécaniques des champs et potagers, etc. 
 
 
 
 
 
Un certain nombre de ces outils seront automatiquement vendus par la coopérative my e-fermoise au fermier lors de son passage au niveau 3 (contre une participation en écus de sa part). 
 
Les autres seront à acquérir au fur et à mesure du développement de l’exploitation. 
 
Bien entendu, une nouvelle contrainte matérielle fait son apparition : c’est l’essence, qui permet d’alimenter les différentes mécaniques, et qui sera vendue au fermier sur commande auprès de la coopérative. 
 
Dans ce domaine aussi, l’utilisation intensive des outils amènera des pannes nécessitant l’intervention d’un technicien pour réparation.  
 
 
Une diversification nécessaire. 
 
Afin de s’assurer de survivre à cette crise, le meilleur moyen reste encore de diversifier son activité. 
 
Le fermier de demain devra donc gérer de nouveaux élevages ainsi que les productions qui les accompagnent : 
 
 
- Vaches, taureaux et veaux,  
 
 
 
c'est un taureau 
 
 
- Béliers, brebis et agneaux, 
 
 
 
c'est un bélier 
 
 
- Canards, canes et canetons, 
 
 
 
c'est un canard 
 
 
- Cheval, jument et poulain. 
 
 
 
c'est un cheval
 
 
 
Le détail de toutes ces nouveautés (modalités de fonctionnement et interactions) dans les semaines qui suivent... 
 
 
Toutes ses données proviennent de cette fiche du niveau 3 :  
Généralités (2/2)
 
 
 
 
Fiche 2 
L'agriculture intensive, la météo... 
 
 
Le nombre de champs et de potagers n’est maintenant plus limité afin que vous puissiez assurer une production suffisante pour nourrir vos animaux. 
 
Le remembrement.  
 
Afin de faciliter l’usage des machines et une agriculture plus intensive, les multiples petites parcelles du niveau 2 (que constituent les champs des différents fermiers) ont été remembrées, c'est-à-dire regroupées et redistribuées aux fermiers, sous la forme d’un unique champ (par type de culture) d’une plus grande superficie. 
 
Il est possible d'agrandir chaque zone de culture au fur et à mesure de la modernisation de l’exploitation. 
 
Un apport technologique.  
 
L’ensemencement est maintenant réalisé à l’aide d’une machine, et l’agriculteur a le choix entre un engrais industriel (peu cher et performant) ou un engrais naturel (produit par ses animaux). 
 
L’automatisation ainsi que l’utilisation de grandes superficies permettent au fermier de ne fertiliser et de n’ensemencer qu’une partie de ses champs, selon la disponibilité des matières premières. 
 
 
 
Des contraintes naturelles.  
 
Les récoltes sont limitées par des contraintes de durée et de météo : un ensoleillement suffisant est nécessaire pour lancer la récolte, l’arrosage (naturel ou mécanique) assure le développement des cultures. 
 
L’arrosage mécanique est assuré par une pompe nécessitant l’utilisation d’un carburant. 
 
 
 
Des récoltes continues.  
 
Pratiquement, un icône indique si l’ensoleillement suffisant pour effectuer une récolte est atteint, un icône indique si le champ est irrigué par la pluie, des barres de progressions indiquent la quantité de semences irriguées ou fertilisées, et une barre globale indique la quantité actuelle de culture récoltable. 
 
 
Toutes ses données proviennent de cette fiche du niveau 3 :  
Récoltes et semailles.
 
 
 
 
Fiche 3 
Le marché de gros et la livraison express. 
 
 
Végétal ou animal ? 
 
Entre privilégier la production de culture ou la production d’animaux, les fermiers ont dû faire un choix. La coopérative a donc décidé de privilégier la production d’animaux et de garder une production de nourriture comme production d’appoint. 
Comme la tendance l’avait laissé deviner au niveau 2, les fermiers doivent maintenant faire appel à un service spécialisé de livraison afin d’assurer la subsistance de leurs animaux. 
 
Livraison à domicile. 
 
Chaque fermier passe donc commande la veille des quantités d’aliments, d’eau et d’essence nécessaires à l’entretien de sa ferme pour le lendemain : il est livré par camion dès le lendemain matin à 5h. 
Heureusement pour les distraits, le service de livraison propose un service express qui permet d’être approvisionné le jour même de la commande…mais attention à la majoration des prix ! 
 
 
 
Bien entendu, confier une mission aussi importante, même à des professionnels, c’est mettre fin à son indépendance, et notamment se mettre à portée des grèves ou autres incidents. 
 
Silos, citernes et chambre froide. 
 
Afin de stocker ses production en attendant de les vendre sur le marché, ou tout simplement afin de préserver ses arrières en cas d’erreur de livraison, la coopérative propose de nouvelles unités de stockage que sont les citernes à essence, les silos à grains et la chambre froide. 
Cette dernière permet de conserver les légumes et la production laitière, mais son fonctionnement nécessite du carburant pour alimenter le décompresseur… dont la mécanique est très sensible aux pannes. 
 
 
 
Un marché privilégié. 
 
Afin de préserver l’équilibre des échanges commerciaux, les fermiers de niveau 3 échangeront leurs denrées sur un marché spécifique. Un système de sacs leur permettra de continuer leurs échanges avec les fermiers des niveaux 1 et 2. 
Les ventes seront cependant soumises à des mesures anti-monopoles, comme des quotas de sacs ou l’interdiction de vendre au-delà d’une certaine proportion de denrées déjà mis en vente. 
 
Une toute nouvelle machinerie. 
 
En plus de la machine à mélange de nourriture acquise au niveau 2, la coopérative met à leur disposition une toute nouvelle machine à fromage de vache et de brebis. 
Cette nouvelle production permettra aux fermiers modernes de compléter leurs revenus et d’ajouter de la valeur à leur production laitière. 
 
 
 
 
Toutes ses données proviennent de cette fiche du niveau 3 :  
gestion des stocks.
 
 
 
 
Fiche 4 
Davantage d'espèces, à la merci du hasard.
 
 
Diversification des élevages. 
 
Afin de survivre à la crise, le nouveau fermier moderne a diversifié ses élevages d’animaux sous les formes suivantes : 
 
- petit élevage de chevaux, 
- élevage de canards en gros, 
- développement de son cheptel de bovins, 
- développement de son cheptel d’ovins. 
 
Comme précédemment, les animaux d'espèces différentes ont des cycles et des règles de reproduction différentes (cycle des chaleurs pour les mammifères, délai de couvaison pour les autres, ratios mâles/femelles différents, etc.). 
 
De même, les nouveaux animaux requièrent des régimes alimentaires spécifiques, sous forme de nouveaux aliments ou de mélanges particuliers. 
 
La gestion en gros des élevages. 
 
Comme il l’a été présenté précédemment, la gestion des animaux se fera globalement : une unité à traiter par espèce. 
 
L’état général des animaux est indiqué sous la forme de barres-pourcentages (satiété, hydratation, propreté et santé), indexées sur la quantité d’animaux présents et d’objet mis à leur disposition. 
 
A chaque action du fermier sur ses animaux, la quantité spécifiée d’objets est prélevée directement dans ses silos de stockage et vient modifier le ratio des barres en conséquence. 
 
Cependant, le fermier ne pouvant vérifier l’état de ses bête de manière individuelle, ceci ne garantit pas que son action sera efficace pour chaque animal en particulier : sa visite du lendemain lui révèlera dans quelles proportions ses actions auront été efficaces. 
 
 
 
Exemple :  
- un poulailler comporte 700 têtes et est nourri à 60Un traitement individuel assure que 420 poules soient nourries pour le lendemain. Avec l’élevage en gros, le fermier ne peut s’attendre qu’à une fourchette de 380-420 poules nourries. 
 
Bien entendu, plus le pourcentage d’un état est élevé, plus la fourchette d'incertitude sur les animaux effectivement nourris diminue : le fermier aura donc moins de mauvaises surprises. 
 
Exemple : 
- le même poulailler nourri à 90ermet à un fermier de tabler sur une fourchette de 610-630 poules nourries (au lieu de 630 en traitement individuel). 
 
Le marché noir : fournisseur d’outils bonus... . 
 
Au niveau 3, le marché noir accueille de nouveaux individus louches. Ceux-ci proposent aux éleveurs d’améliorer le rendement de leurs animaux par des méthodes non recommandées par la coopérative (sans être illégales). 
 
Attention cependant, la qualité des objets proposés laisse souvent à désirer : de nombreuses pannes ainsi que des effets néfastes sur les animaux sont à redouter. 
 
On peut notamment citer : des lampes prolongeant l’exposition des canards à la lumière afin d’augmenter leur taux de reproduction, une trayeuse automatique pour la vache, et une tondeuse électrique-tire-poil pour augmenter la production de laine des moutons. 
 
 
Toutes ses données proviennent de cette fiche du niveau 3 :  
Nouveaux élevages, nouvelle gestion.
 
 
 
 
Fiche 5 / parti 1  
Le cheval, la jument et son petit poulain 
Le fournisseur de centres hippiques. 
 
 
Le niveau 3 offre la possibilité aux fermiers d’acheter des chevaux (étalons ou juments). 
Le fermier fait son choix sur le marché aux bestiaux parmi trois couleurs de robes différentes. 
Comme les autres animaux, le cheval peut se reproduire : en plaçant un étalon et une jument dans un même enclos, le fermier aura le plaisir d’accueillir un petit poulain (toujours à la condition d’un soin attentif de sa part). 
 
 
 
Fournisseur de haras. 
 
N’ayant ni la place, ni le temps nécessaire à consacrer à cet élevage spécifique, l’enclos des chevaux est limité à 3 bêtes : arrivé à un certain âge, le poulain devra être donné au centre équestre ou haras choisi par le fermier afin de laisser de la place à un futur nouveau poulain. 
Une liste permettra à l’éleveur de suivre la répartition des bêtes qu’il aura nommées et données à tel ou tel centre hippique. 
 
 
 
Engrais naturel. 
 
La production de chevaux offre un intérêt limité sous la forme de production de fumier comme engrais naturel pour les champs. La quantité de fumier est naturellement proportionnelle au nombre de chevaux élevés.  
 
Une aide de la coopérative. 
 
En contrepartie de ses efforts, un fermier éleveur de chevaux recevra des points bonus tant que ses animaux seront bien portants.  
S’il arrivait qu’un éleveur laisse mourir les chevaux dont il a la garde, celui-ci recevrait un malus quotidien sous forme de points négatifs.  
L’unique possibilité pour lui de se rattraper consiste à racheter des chevaux et de faire don de ses poulains. Le malus est ôté dès lors que le mauvais éleveur a remplacé ses animaux perdus et en a fait don aux centres équestres.  
 
 
Toutes ses données proviennent de cette fiche du niveau 3 :  
Animaux nouveaux.
 
 
 
 
Fiche 5 / parti 2  
Sieur canard, dame cane et leurs canetons. 
 
 
Globalement, l’élevage des canards est semblable à celui des poules : un certain ratio de canard/cane permet la ponte d’oeufs qui sont mis ou non à couver (et monopolisent les canes) selon le choix du fermier. 
Après une période d’incubation spécifique, il naît un nouveau canard dont le sexe est déterminé lors du passage à l’âge adulte. 
 
 
 
Le fermier face à ses choix. 
 
Cependant, le fermier devra orienter sa production selon son éthique et ses besoins de productivité : l’élevage pourra être en plein air ou en batterie, le fermier pourra destiner son élevage à la vente d’œufs et de têtes à la coopérative ou s’orienter vers la production de terrines, ou même de foie gras. 
 
 
 
Production en batterie. 
 
La décision de produire du foie gras permet d’augmenter considérablement ses revenus, mais nécessite des infrastructures conséquentes : 
 
- l’élevage se fait en batterie et nécessite donc la construction de bâtiments particuliers, 
 
- seules les canes sont aptes à la production de foie gras, 
 
- un mélange spécial est nécessaire pour la nourriture, qui demande l’acquisition de machines, 
 
- des contraintes d’age et de poids sont imposées aux canes pour utiliser leur foie. 
 
Avec des canes élevées en batterie, le fermier peut décider d’utiliser leur chair pour produire du magret. 
 
Dans le cas de canard et de canes élevés traditionnellement, la transformation est faite sous forme de rillettes et de terrines.  
 
 
Toutes ses données proviennent de cette fiche du niveau 3 :  
Animaux nouveaux.
 
 
 
 
 
Fiche 5 / parti 3  
la vache, son veau et son taureau.
 
 
Afin de commencer son élevage, il sera confié à chaque fermier un taureau reproducteur. Celui-ci partagera le même enclos que la vache qui l’accompagne depuis 2 niveaux. 
 
 
 
Le cycle de la vie. 
 
La reproduction de la vache suit un cycle de chaleur et de gestation. De par leur proximité, l’ensemble des vaches d’un troupeau ont des cycles synchrones. 
Concrètement, l’ensemble des vaches amorce une période de chaleur de 3 jours durant laquelle le joueur choisit de la faire se reproduire ou non. Vient ensuite un cycle de gestation de 6 jours durant lequel le veau se développe. 
Une fois la naissance survenue, la vache entame une période de repos de 10 jours durant laquelle elle produit du lait. Son petit veau atteint l’age adulte au bout de 4 jours. 
 
Le lait produit peut être récolté et stocké dans la chambre froide, ou transformé en fromage grâce à la machine du même nom. 
 
Le rapport de reproduction est de 1 taureau pour 4 vaches, et chaque vache ne donne naissance qu’à un seul petit (si la fécondation a pris). 
 
 
 
Valeur marchande. 
 
Il est dorénavant possible de vendre vaches au repos et taureaux à la coopérative ou au marché aux bestiaux. Les animaux sont distribués aux nouveaux joueurs du niveau 1 dans le premier cas, et achetés par d’autres joueurs dans le second. 
 
En complément, il est possible de ramasser les bouses produites et de l’utiliser comme fertilisant naturel pour ses champs. 
 
Bonus-malus. 
 
Afin d’augmenter sa production de lait, le jouer peut faire l’acquisition d’une trayeuse automatique. Celle-ci sera disponible sur le marché noir. Attention cependant, ces articles sont de faible qualité et cassent régulièrement. 
Les services vétérinaires signalent aussi qu’une traite intensive affaiblit les bêtes qui se trouvent davantage exposées aux maladies.  
 
Toutes ses données proviennent de cette fiche du niveau 3 :  
Animaux nouveaux.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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Modifié en dernier lieu le 2.01.2006